À SAVOIR...
 
  Taille : 193 cm.
  Poids : 90 kg.
  Yeux : Bleus azurs.
  Cheveux : Bleus turquoises (coloration).

 ✚ Comme tous les dieux tu dirais, tu possèdes cette confiance inébranlable. Tu ne doutes pas de tes capacités et de ce que tu vaux, tu es même presque trop sûr de toi et c'est sûrement pour cela que tu te permets de balancer tout ce qui te passe par la tête. Tu es franc, un peu trop direct d'ailleurs, faut dire que tu ne fais pas dans la douceur et l'éloquence, mais au moins tu n'es pas hypocrite. Tu as toujours été possessif et pris grand soin de protéger ce qui t'appartenait que cela soit matériel ou humain.

Loyal Ϫ Franc Ϫ Confiant Ϫ Sans pudeur Ϫ Persévérant Ϫ Téméraire Ϫ Protecteur Ϫ Curieux Ϫ Fidèle Ϫ Instinctif Ϫ Vif.
 ▬ Tu n'es qu'un animal empreint d'une faible conscience humaine. Ton instinct a toujours guidé tes pas aussi brutal et violent soit-il. Tu es sauvage et indomptable, tu n'obéis à personne. Du moins, seulement à ceux qui ont réussi à te faire mettre une genoux à terre. Pour toi, la loi du plus fort a toujours été maitresse, la hiérarchie est essentielle. Alors, tu n'hésites pas à rappeler ta place au sein de celle-ci, bien que l'univers décalé de cette pseudo-école ne t'y aide pas. Toujours fourré dans les mauvais coups, à te battre contre le premier venu souvent pour les mauvaises raisons. Tu es orgueilleux et buté, tu ne supportes pas qu'on te contrarie et même si tu t'es assagies avec les siècles tu n'en restes pas moins colérique et imprévisible. Tu as du mal à faire la différence entre le bien ou le mal, comme un gamin mal éduqué. Et tu fais souvent preuve d'une certaine cruauté envers ceux que tu n'aimes pas.

Orgueilleux Ϫ Colérique Ϫ Brutal Ϫ Insouciant Ϫ Susceptible Ϫ Jaloux Ϫ Secret Ϫ Vulgaire Ϫ Parfois cruel.
 
❥ Démon intérieur : Satan.

  Préférence sexuelle : Zoophile. Tu n'as jamais vraiment prêté attention à ce genre de choses, pour toi le sexe n'était qu'un moyen de se récompenser après une bataille. Tu t'offrais à la première croupe alléchante, qui pour le moment se sont avérées être toutes d'origine féminine il te semble. Hétérosexuel.
  Signe particulier : Tu as un 6 gravé dans le bas de ton dos, dont tu gardes la signification secrète. Et une large cicatrice le long de son abdomen (du nombril jusqu'à son thorax).

  « Aime » : Les bons gros morceaux de viande – saignant de préférence Ϫ Comme tout bon Dieu de la guerre se battre que cela soit encaisser ou donner tant qu’il finit vainqueur Ϫ L’alcool et les fêtes surtout lorsqu’il y a de quoi manger en plus de boire Ϫ Parler de ses exploits d’antan Ϫ Se prélasser au soleil Ϫ Sa forme divine sous laquelle il a passé la plus grande partie de son existence Ϫ La chaleur et le soleil Ϫ  La testostérone, la virilité la vrai, des mecs qui ressemblent à des mecs.
  « N'aime pas » : Les faiblards, ce qui réunie la plupart des humains –sauf combattant et guerrier -, les personnes trop naïves, celles qui ne savent pas se débrouiller seule et surtout les pleurnichards Ϫ Se balader dans sa forme humaine Ϫ Les nouvelles technologies Ϫ Avoir froid Ϫ Être sous-estimé Ϫ Qu’on essaie de lui donner des ordres – surtout par quelqu’un qu’il considère comme faible Ϫ Les hypocrites et les gens qui parlent trop, ça le barbe Ϫ Il a horreur des serpents, Apophis l’ayant vacciné il y a de cela quelques siècles.

  Apparence divine : Dieu de la guerre et de la victoire, tu étais autrefois vénéré par chaque guerrier. Comme une inspiration, tu devais leur insuffler courage et férocité sur le champ. Et ta forme divine n'aurait pas pu être plus sauvage et majestueuse. Tu abordes la forme d'un grand lion à la fourrure dorée et la crinière épaisse d'une couleur fauve flamboyante, ton regard azuré trahissant ta nature divine. Une armure osseuse recouvrant ton corps pour te protéger durant les batailles qui t'opposaient autrefois à Apophis.

  Entrave : Ton entrave est faite de l'essence même de ton pouvoir et de ta forme divine, toi qui la regrette tant depuis que tu es là ... Plutôt cruel. C'est en effet, une partie de ton armure que tu revêtais lors des batailles. Un demi-masque ancré à ta mâchoire et représentant celle-ci sur la majeure partie de ta joue droite. Lorsqu’un peu trop fougueux et téméraire, tu tentes d'utiliser tes pouvoirs celle-ci grandit et recouvre peu à peu ta bouche et ton nez jusqu'à finalement rejoindre ton autre joue formant une sorte de muselière, Celle-ci s'épaissit jusqu'en devenir suffocante et te contraindre à arrêter ou tomber dans les pommes par manque d'oxygène.

 BIBLIOGRAPHIE
 
Tu es né illuminé par la chaleur radiante du soleil, elle t'a bercé et nourrit. Petit lionceau fébrile, petit dieu encore ignorant. Fils de Bastet, la déesse chatte revêtant les traits de Sekhmet pour défendre son père et maître Ré. Tu as hérité de son devoir, de son caractère sauvage et de sa soif de sang. Si bien que le peuple nubien avait fini par te considérer comme le dieu de la destruction, tu apportais par tes vents désolation et misère. Tu n'étais qu'un gamin un peu trop fougueux qui ne trouvait satisfaction que dans la démonstration de sa puissance. Les humains étaient faibles, ils ne pouvaient que plier devant ta volonté et cette rage incandescente, qui te consumait inlassablement sans que tu ne connaisses son origine, ne cessait de te pousser vers l'obscurité. Mais, la lumière ne disparaît jamais. Aussi petite soit-elle, elle est toujours là attendant le bon moment pour briller. Et tu as fini par comprendre. Cela t'as peut-être pris des décennies voir un ou deux siècles, pour un Dieu ce n'est qu'une bagatelle après tout. Il est venu te chercher et t'as bercé de sa chaleur. Il t'a appelé à lui comme il avait appelé ta mère autrefois et tu as pris sa place à ses côtés. Ré, il t'a appris. Amadoué. Il t'a enseigné l'importance de ces vies éphémères, de leur existence aussi futile soit-elle. Il t'a donné une place à ses côtés, un rôle et surtout un but. Tu n'étais qu'un enfant un peu paumé en manque de repaires.

C'est ainsi que tes voyages ont commencé. Que tu as fini par voguer à ses côtés sur le Nour à la place de ta mère, protégeant avec assiduité et férocité ce qu'elle représentait : la création divine. C'était un voyage sans fin, répétitif et périlleux, car chaque soir la nuit tombait. La lueur de Ré et du soleil s'affaiblissait et dans l'obscurité les abominations de la création ressortaient. De vils êtres aux desseins bien sombres. Apophis était sans aucun doute le pire. Vil serpent à la persévérance louable, il n'avait de cesse de mettre fin à votre voyage. Tu as livré un nombre incalculable de batailles contre lui, tu l'as mutilé, tué sans qu'il ne disparaisse. Il était ton fidèle opposant et parfois te surpassait. Il t'a fait goutté à tes premières défaites, à tes premières blessures. Il t'a endurci. Tu es devenu aux yeux de l'humanité un dieu guerrier et protecteur bien qu'imprévisible. Si autrefois tu apportais désolation, tu étais maintenant porteur de fertilité et d'abondance. Tu protégeais la lumière qui les nourrissaient. Tu as connu la satisfaction et la jouissance de la vénération et de l'adoration. Un temple s'érigeait à ton effigie à Léontopolis au sein duquel un lion était élevé pour te . Tu es devenu leur protecteur, un véritable Dieu.

Les humains étaient toujours insignifiants, mais tu as fini par admirer la puissance de certains. Et tu as approuvé leur âme guerrière. Mais tes illusions ont disparu, lorsque peu à peu leur croyance ont disparu. Doucement, ton temple a dépérit et ton culte l'a suivi. Ils t'ont oublié. Et tes voyages sur le Nour sont devenus inutiles, tes journées moins palpitantes. Entre festivités et oisivetés, il te manquait quelque chose. Un peu de brutalité. Alors, tu as fini par rejoindre les mortels dans leurs conflits parfois sans fondement. Tu te battais comme un lion, tu saignais tes adversaires pour une cause que tu ignorais et tu revenais fêter ta victoire aux côtés des Dieux. Tu as recroisé le Serpent quelquefois, ultime divertissement dans cette routine. Tu as fini par arrêter de te mêler des batailles humaines, les règles avaient changé et ce n'était plus une histoire de lame et de force. Leur guerre ne te convenait plus. Alors, tu as abandonné. Savourant quand cela arrivait les rares joutes contres d'autres Dieu, jusqu'à ce que tu reçoives cet appel de la Divinité Supérieure ... Et que pour une raison inexplicable, tu décides de t'y soumettre.